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  Site créé le 9 mai 2000 - ISSN 2274-1550
Page mise à jour le 27 avril 2015 Le site de la commune de Pompignac est pompignac.fr
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De A à Z ...
Quelques actualités d'avril 2015 à Pompignac et alentours
Les mots ou expressions soulignés ainsi
Ce texte inclus dans une infobulle peut être une définition, un exemple, une recommandation, un lien, etc.
affichent un texte quand vous les survolez avec la souris.
27 avril - Jean-Pierre Pélabarrère nous a quittés
Absent ces derniers jours j'ai appris avec un peu de retard et beaucoup de tristesse le décès de Jean-Pierre Pélabarrère mercredi dernier. Ses obsèques ont été célébrées samedi en l'église Saint-Martin, il a été inhumé à Cenon.
Tout le monde se souvient encore de sa sympathique silhouette quand il traversait le bourg sur son antique cyclomoteur.
Hélas, à son grand regret, il ne pouvait plus se déplacer de la sorte.
Il connaissait ici beaucoup de monde et il s'intéressait à l'histoire de Pompignac et à la généalogie.
Il était à l'hôpital depuis quelques mois où il décédé à l'âge de 81 ans.
Nous ne l'oublierons pas.
27 avril - Avis d'enquête publique


Enquête publique relative à préservation et la restauration de la bio diversité en Aquitaine, dans les conditions prévues par le code de l'environnement.

Il serait temps d'y penser quand on voit à quelle vitesse disparaissent nos environnements naturels ...
20 avril - «Il faut redonner un centre à la commune»
C'est le titre de Sud-Ouest ce matin à propos de Pompignac.
Ainsi donc nous avions perdu le centre ?
En ce moment j'ai plutôt l'impression que la commune a perdu le nord...
Le journaliste n'a pas plus de chance que nous, quand il pose la question :
«Ces travaux représentent un budget énorme, comment comptez-vous les financer ?»
pour toute réponse le maire botte en touche, il parle de participation de l'État et d'économies pour la commune, sans dire combien tout cela va coûter ni comment nous allons payer l'ensemble.
Tant mieux pour lui si le journaliste se contente de cette réponse, mais cela m'étonnerait que tous le monde ici s'en satisfasse ...
18 avril - Augmentation de la fiscalité locale dans nos communes de la CdC
La fiscalité des ménages augmente titre Sud-Ouest dans son édition du 16 avril dernier.
Pour 2015:
  • La TOEM (Taxe d'enlèvement des ordures ménagères) à Pompignac a été fixée à 10,29 % par nos élus de la CdC.
  • La taxe d'habitation passe de 7,97 % à 8,1 %.
  • La taxe sur le foncier bâti passe de 0,068 % à 0,1 %.
Voir l'article
Dans ce même article nous apprenons que la Ludothèque qui devait s'installer à Cadouin aménagera finalement à Tresses, au château de la Séguinie.
C'est bien dommage pour les pompignacais qui devront aller un peu plus loin que prévu et c'est aussi bien dommage pour nos finances locales car cela fait 10.800 euros de loyers annuels qui n'alimenteront pas le budget communal comme prévu.
16 avril - La page de Pompignac sur Wikipédia vient d'être modifiée
Je reçois ce matin une alerte de Wikipédia m'informant que la page concernant Pompignac vient d'être modifiée.
Voici cette alerte et ses liens:
La page Pompignac sur Wikipédia a été modifiée le 15 avril 2015 par
Entre deux ô, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompignac pour la révision actuelle.

Voyez http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Pompignac&diff=next&oldid=111252128 pour visualiser ces changements.
. . .

Résumé du contributeur : Mise à jour redécoupage cantonal et mise en page + sources à lier

Contactez ce contributeur :
courriel : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sp%C3%A9cial:Envoyer_un_courriel/Entre_deux_%C3%B4
wiki : http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Entre_deux_%C3%B4
Ces modifications ont été effectuées le 15 avril 2015 à 21:03 par Entre deux ô
qui a apporté sa contribution catégories suivantes concernant l'Entre-deux-Mers : NOTA: il est possible que certains liens ne soient accessibles qu'à des contributeurs Wikipédia.
15 avril - Ma boîte aux lettres a failli déborder
Après une absence de 8 jours ma boîte aux lettres n'était pas loin de déborder, ça fait du bien de savoir que certains pensent à nous, notamment M.le Maire (2 fois) et M. le Percepteur.
D'abord M. le Maire nous invite en quadrichromie au prochain repas de vieux, comme tous les ans je déclinerai poliment l'invitation.
Ces repas des vieux (ou des anciens ou de aînés si vous avez peur des mots) suivis d'une petite sauterie sont décidément la marotte de tous les maires, est-ce une forme de clientélisme ou bien une marque de respect envers nos têtes chenues ?
Je n'en sais rien et je n'ai pas envie de savoir.
De toutes façons je préfère mille fois les rencontres organisées par les intéressés eux-mêmes, en espérant qu'une salle leur soit quand même prêtée par la mairie, hélas je connais au moins une association à qui, ici, cette possibilité est encore est systématiquement refusée.
Dommage, j'aurais bien imaginé un repas de vieux, de jeunes et d'entre-deux réunis par le RAPP par exemple.
Bon, ça me fera du bien, j'ai des kilos en trop !

Un second document émanait de M. le Maire, le Mensuel d'avril. Il est bien épais, j'ai à peine eu le temps de le parcourir car j'ai d'abord donné la priorité à la mise en page et en ligne de la lettre de M. le Maire, voir ci-dessous, en respectant scrupuleusement sa mise en page. Il voulait une publication in extenso, je suis largement allé au-delà de ses désirs, j'espère ainsi qu'un jour il daignera ne plus me traiter de menteur, de mauvaise foi, de volonté de nuire et de que sais-je encore...
Avant l'arrivée du prochain numéro il me reste encore un mois pour tout lire, comme je le fais studieusement chaque mois.
Un première satisfaction: la rubrique «Mais non, mais non» a enfin disparu, aurais-je été entendu ? Cela faisait un petit moment que je dénonçais cet articulet mensuel polémique financé par nos impôts et sans le moindre mention à un droit de réponse éventuel.
En ce numéro d'avril je n'ai pas vu non plus le moindre petit espace à mots comptés réservé à nos 5 élus d'opposition, comme cela existe souvent ailleurs. J'ai peut-être parcouru trop vite les nombreuses pages de ce beau catalogue municipal. C'est dommage car ces 5 élus représentent une part très importante de l'opinion publique à Pompignac. De ce fait, tant qu'il en sera ainsi je ne pourrai m'empêcher de penser in petto et moderato, ma non troppo qu'il s'agit d'un mensuel de propagande.
Je retirerai ces mots dès que les élus d'opposition pourront s'exprimer dans les pages du Mensuel.

Très joli le nouveau logo de Pompignac, bravo à l'artiste bénévole qui l'a conçu.
J'ai appris qu'un nouveau site internet de la commune est en projet, je sais qu'au sein du Conseil il y a de talentueux bénévoles pour s'en charger, sinon j'espère qu'un appel d'offre sera largement publié au sein de la commune et de la communauté de communes, comme ailleurs d'ailleurs. [ ne pas confondre avec le bordeluche "dailleur" ]

PS: je n'ai pas encore ouvert la lettre de M. le Percepteur, je veux continuer à garder le moral encore quelques heures ...
8 avril - Travaux de voirie
Les principales voies de circulation qui traversent notre commune sont entretenue par la Communauté de Communes ou par le Département, c'est généralement bien fait, sauf pour la route de Pompignac à Fargues qui devient de plus en plus impraticable.
Il serait grand temps de songer à en sécuriser les rives.

Les autres voies de circulation dont l'entretien incombe à la commune étaient fort mal entretenues, voire pas du tout, depuis au moins le début de l'hiver dernier, si ce n'est depuis bien avant.
Les très nombreuses pluies que nous avons connues ces temps derniers n'ont cessé de détériorer les chaussées. Comme on a attendu trop longtemps les dégâts sont devenus très importants. C'est ce qu'a la suite de Rudolph Giuliani, ancien maire de New York, l'on appelle le hypothèse du premier carreau cassé. Des petits dégâts laissés à l'abandon entraient de nouveaux dégâts.
Il était temps de réagir.
Malheureusement je crains que la solution retenue pour combler les nids-de-poule , pelages et fissures dans nos chaussées ne soit pas pérenne.
Il s'agit en effet de la technique de projection de granulats, avec surplus sec. On peut d'ailleurs constater que les premières réparations sont déjà à refaire, les granulats supplémentaires sont d'ailleurs connus pour leur dangerosité (dérapages, projection, etc.) Pourquoi avoir attendu si longtemps pour commencer les travaux et pourquoi avoir recouru à la technique la moins fiable et la plus dangereuse ?
La technique de l'enrobé, plus fiable, est certes plus chère, c'est peut-être la raison pour laquelle elle n'a pas été retenue: la commune n'aurait-elle plus les moyens de financer ces types de travaux ?

Si vous consultez mon application de comptage de caractères cet article fait 1 679 cratères
M. le Maire m'a écrit cette nuit afin que je publie son droit de réponse, ce que je ferai prochainement, comme je l'annonce et comme je le fais de façon transparente depuis plusieurs années. Conformément à mon éthique personnelle vous pourrez donc lire son message in extenso.

Mercredi 15 avril,
Après une absence d'une semaine, de retour à Pompignac hier soir tard, je m'empresse ce matin de publier le courriel de 3 189 caractères de M. le Maire rigoureusement dans son exacte mise en page. Dans un premier temps, par courtoisie pour la fonction, je ne l'assortis d'aucun commentaire.
08/04/2015 22:10

Monsieur,

Vous ne semblez pas profiter du fait que l'on distribue un journal mensuel qui explique bien exactement ce qui se fait, et particulièrement en matière de voirie.

Apparemment vous ne vous déplacez sur aucune voie de la commune, car vous n'avez rien vu des travaux accomplis et en cours.

Il faut donc faire encore un effort à votre intention, pour vous apporter à domicile, sur votre messagerie, les informations qui vous manquent.

Les voiries communales suivantes ont été refaites ces derniers jours :

- lotissement Hameaux de la Laurence, 2ème tranche
- Lotissement Bel Horizon, 2ème tranche
- chemin de Cap de Mailh, 2ème tranche
- chemin de Marsalat
- chemin de Cordes (première partie)
- chemin de Bellevue (en cours)

Cela en réfection définitive en béton bitumineux (enrobé à chaud), avec reprise de l'infrastructure, élargissement de voie, poutres de rive si nécessaires, reprise des bordures et des caniveaux, reprise des dépressions charretières, reprise ou réalisation de fossés, busages de fossés, réalisation de trottoirs...

Pour tout le reste des voiries de la commune, nous réparons dans le cadre de ce que l'on appelle le "point à temps". Et il n'y a pas mille solutions. L'enrobé à chaud ne peut convenir pour un trou ou une fissure sur un bicouche fragile. Ce que vous appelez la "projection de granulats avec surplus sec" ne correspond à aucune spécification technique. Il s'agit de la "projection d'émulsion et de granulats". Cette technique n'a pas vocation à être pérenne, comme vous le supposez, mais elle permet de reboucher les trous pour permettre de rouler en attendant la réfection définitive de la voie.

La commune investit 300 000 € par an pour sa voirie. C'était une nécessité, tant l'héritage était déplorable : toutes les voies communales, sans exception, avaient en effet été conçues avec un revêtement bicouche, bon marché et très fragile. Il y avait tout à refaire. Nous avons transféré 30 % de la voirie à la Communauté des Communes et nous avons piloté le programme de réfection, qui s'est effectué selon les demandes et le suivi de la commune. Nous avons parallèlement à nous occuper des 70 % restant, que nous refaisons en béton bitumineux (enrobé à chaud) progressivement, le but étant d'en avoir terminé à la fin du second mandat. S'ajoutent les effacements des réseaux aériens et les réalisations de réseaux d'assainissement et de pluvial, très onéreux et entièrement à la charge de la commune.

Apparemment, vous n'avez pas vu tout cela, vous n'avez pas lu le bilan du mandat, vous n'avez pas aperçu les travaux de cette année, sauf à critiquer le "point à temps". Il était donc utile de vous informer. Pour la question technique touchant aux voiries, vous ne pouvez pas tout savoir, car ce n'est pas votre métier. Aussi, il serait plus sage de ne pas en parler, au moins avant d'avoir acquis les connaissances nécessaires et avant de vous être renseigné auprès de personnes compétentes en la matière.

Je vous recommande de publier in extenso ma réponse pour servir de rectificatif à votre article, si mal informé et si partial dans son dénigrement systématique de l'action municipale.

Avec mes salutations.

Le Maire
Denis Lopez
Pour l'archiver ou l'imprimer voir cette déclaration seule
Mercredi 22 avril - Mes commentaires après une semaine de latence par courtoisie
Quelques remarques à propos du texte de M. Lopez publié le 15 avril dernier
Dans son texte que j'ai intégralement publiée le 15 avril dernier sans y ajouter le moindre commentaire par courtoisie à l'égard de sa fonction, M. Lopez, Maire et enseignant en littérature, qui il y a quelques temps encore confondait maîtrise d'œuvre et maîtrise d'ouvrage dans un des nombreux courriers qu'il m'a adressés, se pose en grand spécialiste du BTP et me faisait la leçon tout en me présentant comme un parfait clampin ne connaissant strictement rien à ces questions.
Qu'est-ce qui a bien pu ainsi déchaîner son ire ?
Pour la forme : tout simplement parce que je décrivais les travaux de rapiéçage des chemins communaux sans utiliser ses propres termes labellisés ce qui m'a valu la sentence suivante :
"... car ce n'est pas votre métier. Aussi, il serait plus sage de ne pas en parler... ",
ainsi donc on ne doit parler que des choses de son propre métier, ou bien suivre une formation préalable avant d'émettre la moindre opinion ? Sauf si on est enseignant pluri ou multidisciplinaire, bien entendu...

Lui, dans texte a sorti toute la liste des termes techniques, ou réputés tels, histoire d'enfoncer le clou dans le bitume et dans ma caboche !
Je note au passage qu'une des techniques évoquées est considérée comme la Rolls-Royce du BTP.
Il se trouve que dans ma longue carrière professionnelle j'ai été maître d'ouvrage de nombreux et importants chantiers de construction à vocation régionale ou interrégionale, et pour parler aux différents corps de métier je ne me suis jamais encombré d'un dictionnaire du parfait spécialiste du BTP ce qui ne m'a jamais empêché de mener à bien les différents projets immobiliers dont j'ai eu la responsabilité.
Je n'ai jamais, non plus, reproché aux syndicats, aux clients ou futurs utilisateurs de ne pas s'exprimer en grands spécialistes du BTP lors de nos différentes réunions de concertation.
Mais n'étant pas professeur spécialiste en tout je me suis toujours abstenu de faire la leçon à quiconque.
Après-tout on ne peut pas reprocher la déformation professionnelle d'un enseignant qui ne peut s'empêcher de faire la leçon à ses ouailles chaque fois qu'il en a l'occasion ...

Le fond, plus que la forme, pose problème Ce qui est plus grave, et malheureusement récurrent, c'est la méthode utilisées, quasi inquisitoriale. A l'Ecole Nationale de la rue des Saint-Pères on nous apprenait à faire un laïus en deux parties, à l'École Normale on apprenait, je crois, aux futurs enseignants les joies du texte en trois parties: thèse, antithèse et synthèse, le tout éventuellement enrobé d'une introduction et d'une conclusion.
Les textes que m'adresse M. Lopez sont souvent bâtis sur ce modèle, avec le plan suivant qu'à la longue je finis par percevoir :
En introduction une pique ou une accusation personnelle.
1 - Vous n'avez pas ... (lu, visité, vu, etc.)
2 - Je vous délivre la vérité, Ma vérité
3 - Vous êtes ... (un ignorant, un menteur, de mauvaise foi, etc.)
En conclusion il m'est souvent rappelé que je ne devrais pas m'exprimer.



Voila, mon texte initial faisait 1 679 caractères, la mise au point de M. Lopez faisait 3 149 caractères et mes remarques en comptent presque autant, soit 2 996 caractères.
Vous pouvez vérifier ici avec mon application de comptage développée afin d'aider ceux à qui une courte limite leur serait imposée, sait-on jamais ?

En prime lisez ce qui est dit à propos de la technique du « point-à-tempsLe « point-à-temps » est une technique qui répare la chaussée ponctuellement, là où elle a subi des dégradations comme des nids de poule.
Lors d’une réparation de chaussée au « point-à-temps », l’ouvrier répand une émulsion de bitume et de gravillons. Cette technique permet un entretien de la surface de la chaussée en redonnant de l’étanchéité. Les réparations ne sont effectuées que sur des surfaces ponctuelles. Le rejet de gravillons en excédent est alors inévitable.
La présence de gravillons nécessite une signalisation temporaire adaptée.
Le Bien Public
cliquez pour voir l'article
» vous y verrez que l'utilisation de cette technique doit s'accompagner de mesures règlementaires que M. le professeur de BTP semble ignorer...
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