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De A à Z ...
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Lettre ouverte de Laëtitia Pons 
Madame Laëtitia Pons m'écrit le 2 octobre 2020 une lettre ouverte à propos de son association «Espace citoyen Pompignacais» que j'évoquais dans un article le 29 septembre 2019. En tant qu'ancien facteur j'ai prêté serment de ne jamais ouvrir une lettre, ce terme de lettre ouverte me déplait donc un peu, d'autant plus qu'à l'époque où Madame Pons faisait partie du conseil municipal de Lopez aucun droit de réponse, tribune libre ou même lettre ouverte m'avait été accordé dans aucun espace de communication de la mairie, même malgré mes protestations quand Lopez se livrait à un plagiat de mes propres articles dans son organe de propagande municipal. J'aurais aimé qu'à cette époque Madame Pons lui rappelle les droits élémentaires des citoyens et les principes de base de la démocratie. Il n'en fut rien, faute de dénoncer cela je considère donc qu'elle s'était rendue complice de tels agissements peu respectueux des citoyens. En dépit de cela j'espère qu'elle appréciera que je publie ici sa lettre ouverte, ne sachant pas où la mettre ailleurs, faute d'avoir prévu une espace citoyen à ce sujet. Voici donc cette lettre ouverte que je publie par strict devoir citoyen :
Monsieur,
Vous réussissez le paradoxe d’une plume acérée et d’un trait grossier: vos affirmations-sentences semblent manquer tout autant de justesse que de finesse. En effet, l’Espace Citoyen - projet que j’ai créé il y a 9 ans alors que j’étais élue - n’a jamais été une salle communale mais un espace passeur de lien social se réunissant à la Maison des Solidarités. Il n’y a d’usurpation d’aucune sorte : travailleuse sociale pendant quarante ans, je porte le projet d’une Humanité partagée. Tel est celui de l’association que nous avons fondée, ouverte à tous. En tant que membre du CCAS de notre commune , vous vous réjouissez certainement que toute déclinaison d’un Espace Citoyen agrandisse le lien social , ce qui est affaire de tous... Par ailleurs, j’ai du respect pour les Elus et les actions menées dans le cadre des Solidarités. Courtoisement vôtre, Laëtitia Pons |
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